
Imaginez : vous sortez d’une récolte exceptionnelle. Les silos sont pleins, les prix du marché sont bons. Mais quelques mois plus tard, au moment de la vente, le verdict tombe : votre grain est déclassé. Humidité trop élevée. Odeur suspecte. Poids spécifique en baisse. Résultat : des dizaines de dollars de moins par tonne…
Ce scénario, des producteurs québécois le vivent chaque année. Pourtant, ils n’ont « rien vu venir ».
Les pertes invisibles : un ennemi silencieux
Chaque année, plus de 90 millions de tonnes de céréales et oléagineux sont produites au Canada (Statistique Canada, 2024). Une grande part dort dans les silos de ferme. Mais mal entreposé, le grain perd rapidement sa valeur.
La Commission canadienne des grains (CGC) le rappelle : un blé à plus de 14,5 % d’humidité ou un soya à plus de 10 % entre dans une zone à risque. C’est là que les problèmes apparaissent :
- Échauffement → perte de poids spécifique.
- Moisissures → qualité marchande dégradée.
- Insectes → déclassement immédiat.
Et ce n’est pas qu’une question de théorie : la CGC estime que les pertes invisibles peuvent représenter 1 à 3 % du volume stocké par année.
➡️ Pour 1 000 tonnes de maïs, cela veut dire jusqu’à 30 tonnes perdues. Au prix moyen de 250 $/tonne, c’est 7 500 $ qui disparaissent. En silence.
Le piège du prix d’achat
Trop souvent, le choix d’un silo se fait au plus bas soumissionnaire. Un prix alléchant aujourd’hui… mais des conséquences lourdes demain.
Les silos bas de gamme :
- Se corrodent après quelques hivers.
- Ont des toits qui ploient sous la neige.
- Laissent passer l’eau par des joints fragiles.
- Distribuent mal la ventilation → créant des poches de condensation.
Le résultat ? Des pertes invisibles qui s’accumulent année après année.
L’équation économique que peu calculent
Un producteur qui perd 2 % de volume/an sur 1 000 tonnes voit disparaître 20 tonnes/an.
Sur 10 ans : 200 tonnes.
Valeur perdue : 50 000 $.
👉 As-tu déjà fait ce calcul pour tes propres silos ?
Ce n’est pas seulement un problème de revenu. C’est aussi une question de réputation : un producteur qui livre un grain déclassé risque de perdre la confiance de ses acheteurs.
La solution qui change l’équation
C’est ici que la durabilité fait toute la différence. Les silos Brock, distribués par JMG (Jolco Manutention de grain), sont conçus pour éliminer ces pertes invisibles :
- Toits renforcés capables de supporter jusqu’à 50 % plus de charge de neige que les standards nord-américains.
- Acier galvanisé G-90, garantissant une résistance à la corrosion sur plusieurs décennies.
- Joints étanches et ventilation optimisée pour maintenir les grains dans leur zone de sécurité (13–15 % d’humidité).
- Durée de vie estimée : 20–30 ans, soit le double d’un silo standard.
Autrement dit : un investissement qui protège vos récoltes et vos revenus sur le long terme.
À retenir
En 2025, la question n’est plus : « Combien coûte mon silo ? »
La vraie question est : « Combien me fait perdre mon silo chaque année ? »
Un silo durable, c’est un outil de rentabilité. Avec JMG et les silos Brock, vous ne stockez pas seulement du grain : vous protégez la valeur de votre récolte, saison après saison.
📊 Sources :
- Statistique Canada – Field Crop Production 2024
- Commission canadienne des grains – Grain Grading Guide & Storage Guidelines
- CGC – Entomology on stored grain pests
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